mardi 8 janvier 2008

Music-Stanislas, l'enchanteur...

Mon coup de coeur musicale en ce début d'année 2008, cette artiste "Stanislas

j'adore sa voix.. ses mélodies nous transportent dans le monde des voyages ,pleins de poésie et du rêve à écouter d'urgence...


Stanislas évolue sur un fil.
Equilibre instable entre classique et pop, nourri d’influences contrastées, alliant exubérance et intimité, allégresse et sanglots étouffés.
"Tu seras parfaitement équilibré quand tu seras mort" lui répétait son professeur de direction d'orchestre.
A 3 ans, il commence à apprendre la musique, et curieusement il a bien davantage de goût pour le solfège que pour l'instrument.
La musique sera toujours pour lui une idée, un moyen de s'exprimer, plutôt qu'une fin en soi. A 12 ans, il chante à l'Opéra de Paris aux côtés de Pavarotti ; à 15, il compose ses premières chansons. Que faire après le bac ? Il devient chef d'orchestre, autant par hasard que par chance. "Après tout que puis-je faire d'autre?" se dit-il.
Il suit son mentor dans les méandres du classique, et devient ainsi Chef d'orchestre-associé de l'Orchestre de l’Opéra de Massy et professeur de direction d'orchestre à L'Ecole Normale de Musique de Paris. Chef d'orchestre atypique puisque le goût des chansons le rattrape.
La rencontre amicale avec Calogero sera déterminante. Sur son conseil, il se replonge dans la pop.
D’abord arrangeur de cordes (Céline Dion, Charles Aznavour, Kool Shen, Calogero, etc…) puis réalisateur, il se met à écrire des chansons pour les autres (Natasha St Pier, Daniel Levi, Les Electrochocs pour Calogero) avant d’écrire pour lui-même, toujours suivi en édition par Pascal Obispo.
Avec Gioacchino, frère de Calo, il fonde Pure Orchestra, groupe de pop à tendance dance-floor (Universal-Mercury), qui fera les 1ere parties de Calogero à l'Olympia notamment.
Ils se séparent en 2005.
Stanislas continue alors en solo et en français, grâce à l'intervention énergique de Thibaud, son frère de producteur.
Il écrit des chansons à son image, à la fois équilibrées et instables, virevoltantes, sans age, toujours sincères. L'orchestre "Paris Pop Orchestra », qu'il fonde en 2006, sera la passerelle qui lui permettra de passer d’un monde à l’autre.
Des chansons ouvertes, le souci de la note juste, les pleurs récurrents d'amours perdues, dans la lumière matinale, parfois glaçante, d'une vieille église...Stravinsky, Ravel, Brahms, A-ha, Prefab Sprout et Simple Minds…
La douce schizophrénie que provoquent ces influences si singulières offre aux chansons de Stanislas un parfum étrange et parfois envoûtant.
Un équilibre instable qui donne envie de goûter au vertige du funambule…

son site : http://www.myspace.com/stanislaslequilibreinstable http://stanislasmusic.artistes.universalmusic.fr/

son clip :" le manège"






1 commentaire:

Anonyme a dit…

et moi aussi j'aime bien pourtant c'est pas mon style mais je trouve cette chanson tellement douce !!! Allez bonnes soldes bizzzz! !!!